La fessée et la discipline domestique s’applique à toute la famille

Catégories : Femmes fessées
il y a 5 ans
Ma mère s’est remariée avec un homme adorable mais très sévère. Il y a des fois où je le trouvais idiot et je ne comprenais pas pourquoi elle l’aimait à ce point. Jusqu’à ce jour là, il n’avait jamais levé la main sur moi et m'avait encore moi fessée.

...........................

Il faisait beau, nous étions au début du mois de mai à un mois du bac. Je séchais les derniers cours pour passer du temps avec Max mon chéri de l’époque. Nous étions à l’ombre dans le parc derrière l’église du village, quand je lui ai demandé de m’apprendre à conduire son scooter. Il avait plus peur que je le lui abîme qu’autre chose mais a fini par céder après un câlins très coquin du type, mademoiselle qui fait des bisous ailleurs que sur la bouche. Oui, je suis une coquine et je m’assume.

Après quelques tours dans le parc, l’idée saugrenue de m’aventurer en ville avec son scooter m’a traversé l’esprit. A l’angle de la rue qui remonte vers le parc, comme j’allais trop vite, je me suis déportée sur la gauche en tournant et............ j’ai rencontré mon beau-père d’une manière assez brutale. Le scooter s’est arrêté dans son pare-choc et moi sur le capot de sa voiture où, la gravité aidant, j’ai glissé dans l’autre sens pour m’écrouler lamentablement sur le bitume.

Blanc comme un linge, quand il est arrivé sur moi j’ai vu la peur dans ses yeux. Je me suis relevée en m’excusant, mais dans ses yeux j’ai bien senti que cela allait être ma fête. Après m’avoir demandé si j’allais bien, m’avoir faite marcher puis asseoir dans la voiture, il a redressé le scooter qu’il a presque jeté sur le trottoir. Max qui avait vu l’accident est arrivé furieux et a engueulé mon beau-père. Mauvaise idée !

Il l’a attrapé par la gorge pour le plaquer sur le capot de la voiture et a levé son poing qui, s’il l’avait frappé, l’aurait sûrement encastré dans la carrosserie.

  • C’est à toi le cyclo ?

  • Oui monsieur, ne me frappez pas s’il vous plait, je m’excuse. A crié Max en mettant les bras devant son visage.

  • Et le casque, tu ne pouvais pas lui prêter du con ? Hurlais mon père. Si elle avait été blessée, tu serais en pièces détachées du con ! Prends ton scooter et barre-toi vite avant que je te file la trempe de ta vie !

Max n’en menait pas large, il faut dire que mon beau-père fait un mètre quatre-vingt et que c’est un ancien boxeur. Un des voyeurs s’est approché pour le calmer, quand il a commencé à s’en prendre à moi avec des questions du type « t’es conne ou quoi, qu’est-ce que tu fous là au lieu d’être à l’école ? ». Soulevé d’une seule main par mon beau-père, il a rapidement compris qu’il valait mieux qu’il s’occupe de ses affaires.

Le trajet nous ramenant à la maison a été assez bruyant et sous la forme d’un monologue puis de promesses de « recadrage ». Il avait dit à ma mère qu’il m’aimait comme sa fille, et là, j’en étais convaincue par tout ce qu’il m’a dit pendant près de vingt minutes de route. Il avait vraiment eu peur pour moi, cette peur était affective au sens propre du termes. En arrivant à la maison, il m’a presque portée alors que je pouvais marcher sans souci. Ma mère affolée est sortie en courant, elle s’est faite incendier à propos de son laxisme avec moi.

Il ne décolérait pas quand nous sommes arrivés au salon. Après avoir raconté toute l’histoire à ma mère, il a attrapé le courrier et là, ce fut l’apothéose. J’avais été surprise dans le lycée à fumer des trucs pas catholiques et prohibés. Le proviseur leur avait adressé un courrier pour le leur indiquer. La fête n’était pas terminée.......

Le grand baraqué avait les yeux mouillés. Sa « fille » se camait. J’ai craqué et je lui ai dit que je n’étais pas sa fille et qu’il me gonflait. Très mauvaise idée.......

  • Un tu sèches les cours, deux tu fais du scooter sans casque, trois tu me rentres dedans en roulant comme une dingue, quatre tu te cames, et je te gonfle ? A hurlé mon beau-père

J’ai vu que ma mère me faisait signe de me taire trop tard. Il m’a sautée dessus, m’a soulevée comme un rien, m’a couchée sur ses genoux et a soulevé ma jupe pour me donner la fessée « que ma mère aurait du me donner depuis longtemps » d’après lui.

  • Mais c’est quoi ça ? A demandé mon père à ma mère en voyant mes fesses nues.

  • C’est un string chéri ! A répondu ma mère.

  • Ma fille fait du scooter avec une jupe plus que courte et en string pour bien montrer ses fesses au lieu de préparer son bac et tu trouves ça normal toi ? Il est temps que je prenne les choses en main ! A conclu mon beau-père en claquant mes fesses.

Sa main en forme de battoir m’a faite hurler à la première claque. Il ne m’en a pas donnée beaucoup, mais je les ai senties passer !!!! Me débattre entre ses bras n’a servi à rien à par à l’énerver un peu plus. J’ai eu très mal et horriblement honte d’être ainsi exposée fesses à l’air et fessée. Quand il s’est arrêté, mes fesses étaient en feu, j’avais l’impression d’avoir des fourmis dans la peau. Relevée aussi prestement que j’avais été couchée, puis envoyée dans ma chambre avec une « soufflante verbale », je me suis enfuie sans demander mon reste.

Arrivée dans ma chambre, après avoir claqué la porte pour faire entendre mon mécontentement, cette sensation de fourmis continuant de s’agiter dans mes fesses m’a surprise. Sur le coup, je les ai attribuées à la douleur, mais, en mettant les mains sur mon fessier rudoyé, j’y ai senti une certaine chaleur. Alors que je les massais en le maudissant, j’ai aussi eu une sensation de chaleur sur « mon devant ». Étant seule dans ma chambre, plonger ma main dans ma culotte pour toucher là où s’était bizarrement chaud ne m’a pas posé de problème. Surprise surprise !

Surprise, car j’étais très mouillée comme quand mon copain me fait des choses ! Mes doigts se sont aventurés comme le soir quand je suis sous la couette et effectivement, je « mouillais » sans en comprendre la raison. En effet, je venais d’être humiliée, d’être fessée devant ma mère et de me faire engueuler. Rien de tout cela n’était logique ! ! ! !

Un étage plus bas, et malgré ma porte fermée, j’entendais les cris d’une discussion très animée. Ma mère n’approuvait pas ce que venait de faire mon beau-père et lui, lui reprochait son laxisme. J’ai entendu plusieurs fois « ma réputation » crié fortement par le beau-papa que je trouvais très moche et vieux.

Le soir même, après un dîner ressemblant à une soupe de grimaces, j’ai été expédiée dans ma chambre pour « réviser » et réussir mon bac si je ne voulais pas me prendre une deuxième fessée. Ils se sont encore engueulés avant, semble t’il, de regarder la télévision. Le son de la télé était très fort, vraiment très fort. La curiosité m’a poussée à quitter mes devoirs aussi indigestes que soporifiques, pour aller jouer les voyeuses de leurs disputes. Et là, j’ai vu ma mère fesses à l’air couchée sur ses genoux en train de prendre une fessée. La différence entre elle et moi, est qu’elle ne se débattait pas et semblait accepter son sort.

PIRE, une fois qu’il eut fini de la fesser, elle lui a dit « merci » et d’elle même, s’est mise à ses pieds pour lui faire un câlin. Dans ma tête, c’était Beyrouth et entre mes cuisses aussi ! Je suis donc remontée me coucher puis, une fois sous la couette, mes doigts n’ont pu résister à la tentation d’aller jouer un peu en dessous de mon nombril.....

................................................

Ces sensations et ces deux expériences, ma fessée puis celle de ma mère que je n’aurais pas dû voir, m’ont titillée. Je ne comprenais pas les réactions de mon corps ni pourquoi ma mère avait dit merci à mon père ! ! ! ! Ne pouvant pas lui en parler, google étant mon ami, j’ai donc fait des recherches sur internet. Celles-ci m’ont conduite sur Fessestivites, où après avoir lu des trucs sur le forum fessée, je me suis inscrite pour pouvoir en discuter.

Le forum fessée est ici

Entre filles, les discussions vont bon train, j’ai donc eu des réponses réelles à mes questions. La fessée cela peut être bon et même jouissif. Comme nous étions pendant la période des soldes, j’ai fait quelques achats sur la boutique ABCplaisir. J’ai donc acheté mes premiers sextoys que j’ai fait livrer en poste restante, pour éviter le passage du facteur à la maison.

Toute émoustillée, encore une fois, je me suis livrée à quelques plaisirs solitaires, en imaginant Max me donnant une fessée pour avoir rayé son scooter. Dans mes songes érotiques, après cette punition, pour me consoler, il me faisait l’amour. Hummmm

Quarante-huit heures plus tard, j’ai récupéré ma boite magique à la poste. J’étais rouge comme une tomate, comme si la bonne femme pouvait savoir ce qu’il y avait dans la boite. A peine arrivée à la maison, j’ai profité que mes parents n’étaient pas encore arrivés de travailler pour les tester. Le petit vibromasseur long en forme de fusée.... a trouvé naturellement sa place et le magic wand massager en forme de micro, est venu faire un duo sur la perle d’Amour avec laquelle j’entretiens des relations privilégiées. Les deux sextoys en même temps, me firent décoller comme jamais. Aucun rapport avec les effets des doigts, ce fut vraiment grandiose.

Les découvertes sur la fessée et ces sextoys m’ont donnée envie d’explorer un peu plus ces choses que les grands nous cachent. Cette fois, ce ne fut pas google qui guida mes pas, mes fessestivites où j’ai commencé à lire des histoires érotiques autour de la fessée et du spanking.

Fessestivites est devenu ma d r o g u e ! Devenue boulimique de lectures érotiques et de vidéos, l’envie d’explorer d’autres rubriques, m’a conduite à lire des choses très cochonnes mais très excitantes. Une semaine avant le BAC, après que mon prof particulier soit parti, en guise de révision je suis allée faire un tour sur ma messagerie de Fessestivites. C’était juste comme ça pour voir si j’avais une réponse de Coquin64. A être sur le site, je me suis dit que je pouvais faire une pause et me lire une petite histoire, puis deux, puis trois, puis.....

LA CATA

Mon prof m’avais demandé s’il pouvait laisser sa moto dans le jardin pour ne pas qu’on la vole parce qu’il avait aussi deux cours particuliers à donner, dans la cité qui est à 300 mètres du lotissement. J’avais répondu « oui sans problème » et que le portail ne serait pas fermé à clé. Quand mon beau-père est arrivé, je ne l’ai pas entendu. En voyant une moto dans le jardin, il s’est posé des questions. C’est donc à petits pas qu’il est entrée dans la maison.

CHAPITRE DEUX

Accessoires pour la fessée et la punition

Les histoires érotiques plus hard de TSM sont ici

Lire la suite : La fessée et la discipline domestique s’applique à toute la famille SUITE
Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement